,

Présentation de After US

After Us : ce qu’il restera de notre Terre

Si beaucoup de jeux souhaitent nous montrer une facette divertissante, d’autres se targuent d’un message fort et poussé. Dans le cas de l’équipe Espagnole de chez Piccolo Studio, il s’agira de la seconde option. En effet, d’ici le 23 mai 2023, l’équipe publiera via l’éditeur Private Division leur nouvelle création sobrement nommée After Us. Ce jeu, aux allures sobres a un message clair et fort, l’écologie.

Trailer officiel du jeu

Si la firme n’a pour le moment eu l’occasion de se faire connaitre que via Arise : A simple story, elle souhaite faire un second grand pas dans le monde du jeu Indé par le biais de cette nouvelle idée. Dans le cadre de cette expérience, vous allez incarner Gaia, une Nymphe aux allures pacifistes sillonnant le monde dévasté par ce qu’on appelle les Dévoreurs. Ces derniers ont réduit à néant l’entièreté de leur écosystème et l’arbre Mère (votre mère également) vous missionne pour récupérer l’esprit des animaux disparus. Loin d’une quête sans sens, cette entité a besoin de ces esprits pour donner une seconde chance au monde et le faire repartir de zéro.

Au cours de notre aventure, nous allons donc arpenter différents endroits représentant la société de consommation actuelle. Les décors se veulent naturellement tristes ou dénués de vie afin de mettre en lumière l’état de chaos causé par les Dévoreurs. À titre d’exemple, nous commençons l’aventure dans ce qui semble être un parking détruit. Les carcasses de voitures sont empilées, le ciel est rouge et couvert. Impossible même d’apercevoir le soleil tant la pollution l’a masqué. Un décor bien inquiétant en guise de HUB de Tutoriel.

 

Quel genre de jeu est After Us ?

Comme beaucoup de jeux de ce genre, After Us est un jeu de plateforme. Celui-ci va se dérouler dans des décors en 3D. Si vous couplez à ça le fait qu’on est sensé arpenter des zones dévastées on s’attendrait à quelque chose de très vite vide. Pour palier à ça, Piccolo dépeint les zones comme abstraites. En effet, on se retrouve limité soit par un vide sidéral, soit par un liquide tentaculaire. Ce dernier aura d’ailleurs pour effet d’agripper Gaia et la tuer instantanément. La prudence sera donc mère de sûreté.

Bonne ambiance pour démarrer !

Pas de panique toutefois, vous disposez d’un nombre infini de vie et des checkpoints relativement fréquents. Pour ainsi dire, chaque passage ardu dispose d’un point de sauvegarde avant et après. Au début de notre aventure, notre personnage présente des capacités assez basiques. À savoir, courir, sauter et tirer avec une orbe. Les capacités et mécaniques se débloquent au fur et à mesure de l’avancée. Au cours du test initial (90 minutes de jeu), seule la capacité de marcher sur certains mur a été débloquée. Toutefois, celle-ci apparait après la complétion du premier monde. On peut donc en déduire qu’il s’agira d’une progression récurrente.

Figé dans le temps pour l’éternité

Pour compléter notre quête, l’arbre Mère nous demande de retrouver les esprits des derniers animaux. Comprendre par cela, le dernier Cerf chassé, le dernier Aigle mis en cage etc… Comme nous vous l’avons indiqué, ce jeu a un message clairement tourné vers l’écologie. On va donc assez souvent retrouver des rappels à notre société actuelle de consommation. Soit de façon assez discrète via des éléments de décor, soit via éléments plus parlants. À l’image des dévoreurs qui sont littéralement les êtres humains (pas de spoil là dessus bien sûr, c’est un élément clairement évoqué au tout début)

0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire