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Test – A Plague Tale : Requiem

Prise en main et amélioration du personnage

Comme indiqué précédemment, le jeu reprend les codes de son premier épisode. En effet, l’itémisation et le gameplay sont sensiblement les mêmes. On va s’orienter discrètement à travers des zones remplies d’ennemis armés et tenter de ne pas se faire repérer. À la différence d’Innocence, le jeu va tout de même récompenser votre style de jeu préféré. En effet, au fur et à mesure de votre progression, en fonction de la façon dont vous jouez, vous allez obtenir certains traits. À noter d’ailleurs, Amicia développe au fil du jeu une rage qui devient plaisante et raccord avec le meilleur style de jeu !

Choisissez votre voie

Ainsi, si vous préférez jouer de façon brutale ou tout en douceur, le jeu vous récompensera pour faciliter votre progression. De mon côté, j’ai décidé de céder au trait de caractère d’Amicia et y aller tout en violence. Pour votre équipement cette fois-ci, tout comme pour le premier jeu, il vous faudra trouver des outils et des matériaux. Ainsi, vos armes et fabrication prennent des niveaux et octroie des effets supplémentaires. Une progression classique qu’il est difficile d’atteindre à 100% en une seule partie.

Puisque nous parlons du 100% d’ailleurs, le jeu se targue de petits Easter Eggs disséminés via des évènements cachés. Il nous faudra également trouver des plumes d’oiseaux remplaçant l’herbier d’Hugo dans le premier volet. Chacun déclenchera bien sûr des petits dialogues ou cinématiques.

Des souvenirs tout mignon

Enfin, le jeu se démarque via quelques nouveautés notamment avec un Hide & Seek en guise de boss pour un des passages. Ou simplement des zones que l’on parcoure dans un sens afin de devoir les retraverser après que les rats n’aient investis les lieux en très grand nombre.

 

Quid de l’histoire ?

Il est difficile de ce côté-là d‘entrer dans les détails sans révéler l’intrigue. On va donc simplement statuer sur le fait que le jeu se réparti sur un total de seize chapitres. Ces derniers vous permettent de rencontrer de nouveaux alliés et ennemis et parfois d’anciens compères.

Seize chapitres jusqu’à la descente aux enfers

Si le dénouement final se veut assez rapidement prévisible, on ne peut que saluer les différents rebondissements. Offrant à la fois à notre âme l’envie de compatir et même parfois de prendre partie sur diverses situations. En plus d’offrir par moment de jolis clins d’œil historiques, le jeu fait référence assez fréquemment à la Peste de Justinien. Un moment sombre moins connu de l’Histoire nous donnant envie d’en apprendre plus. Naturellement si certaines zones sont historiquement exactes. Il ne faudra pas tout prendre au pied de la lettre et garder en tête qu’il s’agit d’une fiction.

Enfin, pour boucler une première fois l’ensemble des chapitres, il faudra compter une quinzaine d’heures sans trop de difficultés. Le jeu a appris de ses erreurs et a peaufiné la formule pour un aspect plus fluide et ludique.

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